Samedi 9 juillet 2011, je rejoins l'IGC à Blois en fin d'après-midi...
Je retrouve tout le monde à la maison de Loire. Après la visite, on se dirige vers la rue du Puits Châtel où nous sommes conviés au vernissage de l'exposition de peinture de François Robin "La poétique végétale de Gaston Couté" aux côtés d'un sculpteur de Pierrefitte sur Sauldre :
Passage très agréable dans les rues du vieux Blois.
Accueil en musique dans la rue du Puits Chatel . Nous pourrons même (un peu serrés ) y faire une petite danse traditionnelle au son des instruments de Gilbert Aubert et Alan Putoud.
Visite de l'exposition dans un superbe lieu que cette galerie à belles voûtes.
Echanges. Discours. Ecoutes de textes de Couté interprétés par des membres des" Chemineux" de la Sarthe que je rencontre là pour la 1ère fois.
Petit verre pour couronner le tout.
Du vieux Blois à la salle du spectacle du soir, Elisabeth (que j'ai rencontrée pour la prenière fois au départ du Bardon) et moi avons été accompagnées (!) de montgolfières à partir du vieux pont sur la Loire... à chaque carrefour nous les retrouvions comme si elles nous suivaient... et lorsque j'ai dû aller dans la cour derrière la salle, elles passaient encore là, accompagnatrices inattendues sur l'IGC.
En attendant le début du spectacle, l'accordéoniste des "Chemineux" nous a joué quelques airs... Véronique Blot que je n'avais pas encore vue dans la salle est venue me chercher pour me faire danser une valse. Véronique est ethnologue à l'UCPS (Union pour la Culture Populaire en Sologne) et interprète son spectacle "Coeur de Braco" depuis 3 ans, elle a eu l'occasion de le jouer dans la Sarthe et les Chemineux n'ont pas manqué de remarquer sa présence : ils lui ont mis une perruque pour "la Françoise qu'est blonde" et les mots de Couté sur les braconniers les ramenaient vers elle en clin d'oeil.
Connaisseurs ou non de Couté ou des Chemineux, interprètes et amateurs, gens venus par hasard, marcheurs ou non, participants assidus ou ponctuels à l'IGC, le public était varié. C'est ça aussi, l'IGC.
Evelyne